Longs MétragesLa Rumeur de l'EauL'Enfant Du SoleilLa Danse Du VentNoces De LuneLayla, Ma RaisonL'Ombre De La Terre
Courts MétragesMon Village, Un Village Parmi Tant D'AutresLe Fil De Oumou SyLa Force Des PetitsLe Chant Du Baye FallEcrans D'AfriqueLa Cité des Sciences A TunisKer Jo OuakamLa Famille ProductiveGabès, L'Oasis Et L'UsineCarthage, An 12Le Temps D'ApprendreLe MétayerVisite De L'Aïeul MaraboutOpéra Ibn Sina, Le Making-Of
L'Ombre De La Terre
Long Métrage - 1982
- Réalisateur/trice
- Taïeb Louhichi
- Acteur/trice
- Mouna Noureddine
- Despina Tomazani
- Helene Catzaras
- Rached Khemis
- Directeur/trice de la photo
- Ramon Suarez
- Ingénieur du son
- Faouzi Thabet
- Musique
- Egisto Macchi
- Décors
- Nacer Khemir
- Costumes
- Hajer Bouhaouala
- Monteur/se
- Moufida Tlatli
- Producteur/trice
- Taïeb Louhichi
- Producteur/trice délégué/e
- Lotfi Layouni
- Jacques Ristori
- Production
- Tanit Production
- Satpec
- Les films Molière
- ZDF
- NCO
- Titre arabeظل الأرض
- Titre anglaisThe Shadow Of The Earth
- Durée85'
- GenreDrame
- Pays concernéTunisie, France
- Format35 mm couleur, Digital Beta et Beta SP
- Version OriginaleArabe sous-titrée Français et Anglais, doublé en Italien
Les derniers membres d'une communauté isolée vivent dans un campement situé sur un terrain frontalier. Le patriarche occupe l'une des quatre tentes qui constituent, avec la bergerie, le campement. Ses neveux, son fils et leurs familles habitent les trois autres.
Les réserves de blé s'épuisent peu à peu et le troupeau, atteint d'un mal inconnu dépérit... Les fils partent vers le nord, à l'armée et à l'étranger. Seuls le patriarche et la femme de son fils restent au campement, mais cette dernière doit à son tour se rendre à la capitale où arrive le cercueil de son mari mort à l'étranger.
Chronique d'une communauté menacée par les fléaux naturels, la frontière, ou le pouvoir central, le film se veut aussi un poème visuel où revit dans la mémoire des hommes la légende des envahisseurs arabes et étrangers.
Les réserves de blé s'épuisent peu à peu et le troupeau, atteint d'un mal inconnu dépérit... Les fils partent vers le nord, à l'armée et à l'étranger. Seuls le patriarche et la femme de son fils restent au campement, mais cette dernière doit à son tour se rendre à la capitale où arrive le cercueil de son mari mort à l'étranger.
Chronique d'une communauté menacée par les fléaux naturels, la frontière, ou le pouvoir central, le film se veut aussi un poème visuel où revit dans la mémoire des hommes la légende des envahisseurs arabes et étrangers.
- Sélectionné à la Semaine de la Critique (Cannes, 1982)
- Prix de l'UNESCO et Mention Oecuménique à Cannes
- Grand Prix des Journées du Cinéma Africain de Montréal
- Grand Prix du Festival d'Orbetello (Italie)
- Prix de la Cité et de la Critique Italienne à Taormina
- Sélectionné et Primé à Valencia, Alexandrie et San Francisco
- Sélectionné au London Film Festival et à Göteborg
- Dukat d'or au 31ème Mannheim International Film Festival, 1982
- Prix Spécial du Jury à Arte Mare – Festival du Film Méditerranéen de Bastia
- Prix Spécial du Jury au 13ème Moscou International Film Festival, 1983
- Prix de la Cité et de la Critique Italienne au Taormina International FilmFest, 1983
- Prix du Meilleur Scénario et Manivelle d'Or au 8ème FESPACO de Ouagadougou, 1983
- 2ème Prix à la Mostra de Valencia – Cinema del Mediterrani, 1982